Le Shaman des Profondeurs
A bord du Mary’s Galloway, le bateau endommagé du capitaine Tyler Sappletown, les investigatrices rejoignent le petit village de Bryn Celli Ddu, coupé du reste du monde depuis la tempête. Elles vont y rencontrer des habitants superstitieux et méfiants.
Durant le temps consacré aux réparations du bateau, nos aventurières tenteront d’en apprendre davantage sur l’origine des évènements qu’elles ont vécues dans le phare et d’en savoir plus sur la confrérie.
Chez le Bourgmestre
Le capitaine Sappletown se rend immédiatement chez lui afin de signaler les disparitions de la nuit précédente. Depuis cette nuit, Mr. Scotting reçoit des sollicitations de toutes sortes : nouvelles des enfants, demande d’aide, réparations des routes… Il a peu de temps à consacrer aux investigatrices mais pourra néanmoins les guider vers la demeure de Mary Wenrec, dite « la Vérole », où réside également Margareth Sannyhoc ainsi que de leur diriger vers la pension d’Eléonor Crampton pour s’y restaurer et se loger.
A la pension
La pension d’Eléonor Crampton est le seul endroit du village qui permet d’accueillir des visiteurs étrangers. Lorsque les investigatrices s’y présentent, Eléonor est en discussion avec John Wendish. Elles surprennent un geste et une parole avant d’attirer l’attention. John Wendish lâche la main d’Eléonor, tandis qu’elle laisse échapper « …nous serons partis,… ». Wendish entame la conversation avec nos aventurières mais coupe court celle-ci dés que l’on fait allusion à la conque et le Dr. Stoner, prétextant qu’il a encore beaucoup de travail.
La sorcière de Bryn Celli Ddu
A l’approche de la maison, nos aventurières peuvent entendre des hurlements provenant de l’intérieur. On jurerait qu’une démente est en train d’accoucher ! Dés que la Vérole aperçoit nos investigatrices, elle leur demande de l’aide pour mettre au monde l’enfant de Margareth Sannyhoc. Lorsque l’enfant vient au monde, on distingue que les eaux nourricières sont verdâtres et nauséabondes, où flottent des algues opaques et blanchâtres. Son enfant a les yeux sortant anormalement des orbites et la teinte d’un blanc maladif. « Blanc comme la nacre » dira-t-elle.
La Vérole se prendra de compassion pour l’enfant. Nos investigatrices apprennent d’elle que Grégor Wenrec, son premier fils, en est le père, mais cette information sera démentie par Margareth qui désigne John Wendish comme étant le vrai père. Grégor n’était là que pour cacher la relation et à lui faire avaler des potions écœurantes de sa préparation.
Un bon bain bien mérité
De retour à la pension, nos investigatrices pourront profiter d’un bain bien chaud près du feu de bois. Rien de mieux pour se relaxer après les terribles évènements de la nuit précédente.
« Enfin un moment de répit ! »
Rien ne sera plus faux. Dés qu’elles seront confortablement dans leur baignoire, Helen et Felicity entendront des grincements de pas venant du plafond en bois. Elles y distingueront deux petits trous juste au dessus de leur tête. Mécontentes, elles quittent les lieux et font leur réclamations envers Mme Crampton. Celle-ci les emmènera au grenier, mais sans succès.
« Enfin un moment de répit ! »
Rien ne sera plus faux. Dés qu’elles seront confortablement dans leur baignoire, Helen et Felicity entendront des grincements de pas venant du plafond en bois. Elles y distingueront deux petits trous juste au dessus de leur tête. Mécontentes, elles quittent les lieux et font leur réclamations envers Mme Crampton. Celle-ci les emmènera au grenier, mais sans succès.
Chez Ben Oliver
L’un des pêcheurs ayant ramené la conque géante se nomme Ben Oliver. Suivant cette piste, nos aventurières le découvrent dans sa cave où il vit prostré, sale et à demi nu entre la crasse et ses propres excréments. C’est un captif à demi-fou, torturé par les visions que la créature du réservoir lui a transmis. Nos trois investigatrices y apprennent, en échange de poisson salé, que la confrérie se réunit souvent autour de la créature venue des profondeurs, que le village est maudit depuis que la conque a été repêchée, que Carl Kernin vient lui donné à manger et le torturer tous les matins, que les pierres levées ont été posées par les druides il y a très longtemps et que le signe du pentagramme est une protection contre les hommes poissons venus des abysses. L’homme mélange délire et vérité. Il sera difficile de faire la part des choses en écoutant ses propos.
Le Maboul : l’idiot du village
Mis à l’écart des habitants du village, ce garçon simplet s’est pris de curiosité envers les trois demoiselles venues de la ville. En échange de quelques écharpes, il leur indiquera où on peut trouver la créature marine qui « parle dans la tête ». Accompagné de leur nouvel allié, Gladys, Helen et Felicity s’empressent vers la propriété du Dr. Stoner.
Le manoir du Dr. Stoner
Arrivées au manoir et avec l’aide de Maboul, nos investigatrices pénètrent dans la propriété. Elles découvriront dans le bureau du Dr. Stoner une carte de la mère d’Irlande avec un tracé de pentagramme où le pentagone central désigne l’île de Man ainsi que quelques extraits partiellement brûlés des notes des recherches du Dr. Stoner. Ensuite elles s’aventureront aux sous-sols pour y découvrir le réservoir.
Le Shaman des Profondeurs
C’est dans l’opacité du liquide jaunâtre du réservoir que le shaman profond se cache. Il faut un œil attentif pour remarquer sa présence. Au bout d’un moment, il se montre et pose sa main palmée sur la vitre du réservoir. Il attend qu’un humain fasse de même pour entrer en contact télépathique. C’est Felicity qui va s’y risquer. Les visions du contact mental lui feront passer dans une transe intense qui sera coupé court par l’intervention de Gladys et Helen. Finalement, le profond se tourne vers nos trois héroïnes et leur parle en envoyant des images dans leurs esprits. Elles apprennent qu’il est venu à bord d’une conque gravée de signes magiques pour contrer le pouvoir du signe des anciens et retrouver le masque de nacre, que des humains l’ont capturé dans leurs filets et qu’il est prisonnier des hommes qui se nomment eux-mêmes la confrérie. Il leur dit qu’il est mourant dû au liquide visqueux du réservoir et leur demande de le libérer ainsi que sa conque avant qu’il ne soit trop tard. Il leur parle également de l’enfant au visage de nacre qui ne doit pas tomber aux mains de John Wendish et de la confrérie, tout en tentant de susciter la pitié. Il n’en sera rien.
La conque géante
Dans une salle voisine, nos investigatrices y retrouvent la conque. En entrant, elles aperçoivent des tentacules se rétracter dans le coquillage géant. Tout autour, on retrouve des restes d’animaux domestiques disparus depuis six mois dans le village. Pas étonnant qu’on ne retrouvait aucune trace de chien et de chats dans ce coin perdu.
Que faire maintenant ?
Le lendemain, la première priorité pour nos trois aventurières est de retrouver et de prendre des nouvelles de Anne Sannyhoc, la fille de Margareth. Elle ne veut plus de l’enfant, qu’elle croit maudit, et la Vérole préfère confier cette dernière à nos aventurières. « …loin de ce trou oublié et damné. » Nos trois comparses se retrouvent donc avec un bébé sous les bras. Ayant une investigation à résoudre, l’enfant restera encore un petit temps chez la Vérole.
Un peu de terrine de poisson, peut-être ?
L’aventure, ça creuse. C’est bien connu. Il est temps de reprendre des forces et de se restaurer à la pension. Le diner du midi se compose de terrine de poisson, de chou et de tarte. Atteint légèrement de ichthyophobie, Helen se contentera du dessert.
La confrérie démasquée
Après multiples allez retours au sein du village, les investigatrices se décident à briser la confrérie de manière judicieuse. Elles savent que John Wendish est le « Grand Masque », qu’il est le père de l’enfant, qu’il a une affaire avec Eléonor et que celle-ci est extrêmement jalouse. Elles en profitent pour lui montrer l’enfant illégitime et de divulguer l’affaire secrète qu’il a eue avec Margareth.
Et ça marche ! Triste et scandalisée, Eléonor va se ranger du côté des aventurières et divulguer les derniers secrets de la confrérie. Entre autre, leur apprendre qui ils sont et qu’ils s’apprêtent à quitté le village pour l’île de Man.
Elle avouera également d’avoir empoisonné les aventurières ce jour même (la terrine de poisson). Helen ira cherché un antidote chez la Vérole et récupèrera par la même occasion Anne Sannyhoc.
Et ça marche ! Triste et scandalisée, Eléonor va se ranger du côté des aventurières et divulguer les derniers secrets de la confrérie. Entre autre, leur apprendre qui ils sont et qu’ils s’apprêtent à quitté le village pour l’île de Man.
Elle avouera également d’avoir empoisonné les aventurières ce jour même (la terrine de poisson). Helen ira cherché un antidote chez la Vérole et récupèrera par la même occasion Anne Sannyhoc.
L’arrivée des druides
Vers le milieu de l’après-midi, deux druides arrivent au village par bateau. Ils se dirigent directement vers les pierres levées. Celles-ci ont été endommagées par la tempête.
En voyant les autres frères Wenrec, trois brutes sans cervelles, sur le chemin des pierres levées, les investigatrices se frayent un chemin par la plage et les rochers.
Elles y font la rencontre des druides qui semblent très intéressés par leur récit. Ils leur disent que tous les frères druides sont, comme eux, malades, probablement empoisonnés. Ils doivent impérativement retourner à l’île de Man pour prévenir leurs frères que le pentagramme à été brisé. Avec l’enfant et avec un peu d’avance sur la confrérie, les investigatrices accompagneront les deux druides jusqu’à l’île de Man, et plus précisément Curtain Wall, où à ce que l’on dit, un sanctuaire dédié à Dagon s’y trouverait.
En voyant les autres frères Wenrec, trois brutes sans cervelles, sur le chemin des pierres levées, les investigatrices se frayent un chemin par la plage et les rochers.
Elles y font la rencontre des druides qui semblent très intéressés par leur récit. Ils leur disent que tous les frères druides sont, comme eux, malades, probablement empoisonnés. Ils doivent impérativement retourner à l’île de Man pour prévenir leurs frères que le pentagramme à été brisé. Avec l’enfant et avec un peu d’avance sur la confrérie, les investigatrices accompagneront les deux druides jusqu’à l’île de Man, et plus précisément Curtain Wall, où à ce que l’on dit, un sanctuaire dédié à Dagon s’y trouverait.